(poème publié le 08/03/04)
lors voilà que tu te réveilles toi,
Con de coeur,
Après m'avoir fait croire qu'elle n'était rien pour moi,
Tu remets les pendules à l'heure...
Tu te remets à battre rien qu'en pensant à elle,
Con de coeur,
Toi qui n'avais pas eu l'étincelle,
Tu remets les pendules à l'heure...
Et d'un coup, voilà mes yeux qui pleurent,
Eblouis par tant d'évidence,
Emus par tout ce bonheur,
Qui viendra clore mon enfance.
Voilà que tu bats la chamade,
Con de coeur,
Mais si tu me mènes à la débandade,
Je te remets les pendules à l'heure...
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