(poème publié le 06/10/02)
a vie parfois à ceci d'étrange,
C'est qu'elle vous joue des tours.
Vos certitudes, votre connaissance de vous même
Un matin s'effondre pour vous rêveler votre nature.
Voici donc votre vie qui change,
Et tout ce fait en un jour.
En vous voyant vous ressentez une gêne
Et ce que vous êtes vraiment, vous n'en êtes plus surs.
Je me croyais gentil et sympathique,
Je l'étais autant qu'un moustique,
Parasitant les autres de toute leur attention;
On s'y perdait tous, y compris moi ma raison.
Alors il va falloir tout reprendre
Et à communiquer réapprendre.
Mais cette fille que j'aime et que j'ai fait fuir,
Comment ne pas me perdre et lui donner envie de revenir?
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