(poème publié le 26/03/03)
ous pouvez me vanter
La fleur d'oranger,
L'effluve la plus subtile,
La fragrance la plus volatile
Vous pourriez acheter
Des parfums prêt-à-porter,
Rien ne pourrait égaler
Son odeur qui chatouille mon nez.
Elle n'a besoin d'aucun artifice,
Qui sente la rose ou bien le vice,
Où qu'elle passe, elle laisse comme une empreinte
Ce doux parfum qui invite à l'étreinte.
Quand elle pose la tête sur mon oreiller,
Ou que dans mon cou elle vient se caler,
Je m'enivre de son parfum,
Comme d'autres le font de vin.
Que par bonheur je les sente,
Ses odeurs jamais ne mentent
Chacune de ses inspirations,
Précède son apparition.
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